Dans son intervention lors de la Conférence organisée pour le lancement officiel du « Cadre de réflexion démocratique et patriotique (Cdrdp-50) », le Haut Représentant du Président de la République Mme Aminata TOURE a notamment indiqué : « (…). Mais ce que moi j’ai compris par l’expérience … c’est que nous vivons une crise de l’éthique et de la morale. (…). Et je considère que l’Afrique en particulier a une sérieuse crise d’éthique et de morale, et ça, il va falloir que l’on puisse le régler. (…). Et comment devons-nous élever ou ré-élever les standards de morale et d’éthique dans notre pays ? Je crois que c’est une sérieuse question à laquelle il faut que nous apportions une réponse. (…). Est-ce qu’il faut rappeler nos textes religieux, puisqu’il y a aussi une dichotomie là-bas. Dans toutes les religions, tu ne voleras point, mais nos églises et nos mosquées sont remplis de gens qui volent tous les jours. Donc comment on va régler cette question qui me parait centrale ? (…). Pour moi, c’est la révolution de l’éthique et de la morale qui doit être envisagée. (…). Mais il faut nécessairement un changement de comportement et de manière de penser ». (…). Si on n’embarque pas un changement de comportement général, c’est-à-dire le peuple avec nous dans nos propres valeurs, vous aurez des contre-valeurs qu’on devra affronter rapidement. (…). … aucune sphère n’est épargnée. Donc je voulais aussi interpeller nos penseurs pour que cette dynamique soit prise en compte. Elle n’est pas facile mais je pense que le monde aujourd’hui dans lequel nous vivons a besoin de redéfinir et de redécouvrir l’éthique et la morale et surtout l’humanisme parce que les trois vont ensemble. (…). ».
Totalement en phase avec elle en ce qui concerne cette « crise de l’éthique et de la morale » que nous avons eu à aborder en parlant de « crise morale tridimensionnelle »1 au sujet de laquelle nous avons partagé les résultats de notre étude dans un livre intitulé « Crise morale au Sénégal : expressions, causes, conséquences et esquisses de solutions ». Dans ce livre nous avons identifié « l’abandon de Dieu » comme la « cause centrale » de la perpétuation et de l’approfondissement de la crise morale, avant d’indiquer que pour un peuple de croyants qui a constitutionnellement consacré sa religiosité au travers du serment du Président de la République qui « jure devant Dieu et devant la Nation sénégalaise », le « retour (sincère) vers Dieu » est l’unique solution de sortie de la crise morale.
Cet article basé sur le contenu de ce livre 1 va donc s’articuler autour des deux (2) points : « l’abandon de Dieu : cause centrale de l’apparition et de la perpétuation de la crise morale » (I.) et « Le retour vers Dieu : unique solution de sortie de la crise morale » (II.).
I. L’ABANDON DE DIEU : CAUSE CENTRALE DE L’APPARITION ET DE LA PERPÉTUATION DE LA CRISE MORALE
La lecture du Coran et de la Bible nous a permis d’identifier des versets coraniques et / ou bibliques qui « interdisent notamment le vol, la corruption, l’enrichissement illicite, l’étalage de richesses mal acquises, le favoritisme, la non acceptation inconditionnelle de la primauté de l’intérêt général sur tous les intérêts particuliers, l’hypocrisie, l’injustice, l’iniquité, le mensonge, les faux témoignages, les louanges mensongers, la délation, la médisance, la calomnie, la tricherie, la tromperie, la supercherie, la duperie, les paroles sans actes, la trahison, la jalousie, la méchanceté, le vol sous toutes ses formes, la corruption, les pots-de-vin, l’ostentation, le gaspillage et l’abus de pouvoir ou d’autorité.
Il existe aussi des versets coraniques et bibliques qui commandent entre autres, la droiture, le culte du travail et du mérite, la dignité, l’amour de la vérité, de la justice et de l’équité, l’amour d’autrui et surtout des parents, le sens des responsabilités, le respect de l’autorité, le respect d’autrui, la tolérance, l’humilité, la modestie, la politesse, la miséricorde, la bienveillance, la bienfaisance ou les bonnes œuvres, l’altruisme, le patriotisme, l’acceptation inconditionnelle de la primauté de l’intérêt général sur tous les intérêts particuliers, la tempérance dans la recherche des richesses matérielles et des plaisirs, le respect des engagements et de la parole donnée, la fidélité, la conservation et la remise intégrale des dépôts, l’honnêteté, l’intégrité, l’endurance, la persévérance, le courage, la fermeté, l’humanité, la bonne parole, les pensées positives, la consommation exclusive de choses licites, la volonté de bien tenir son rang quel qu’il soit et celle d’optimiser sa contribution à la préservation et au développement de toutes les utilités communes (environnement et infrastructures) par lesquelles l’État assure ses charges régaliennes.
Il apparait ainsi que la pureté des dogmes islamique et chrétien est telle que tout musulman ou chrétien doté de la foi véridique, c’est-à-dire qui est respectueux, de manière non sélective, des prescriptions coraniques et bibliques d’ordre éthique est un citoyen vertueux et patriote. Dans ce sens nous avons montré, dans un article intitulé « Musulmans ! Prenons conscience de nos hypocrisies !», sur la base d’une analyse de la Sourate de l’Ouverture (Al Fatiha) que seuls les musulmans hypocrites commettent sciemment des mauvaises œuvres, à moins qu’ils ne soient des vrais ignorants des prescriptions coraniques d’ordre éthique.
Par ailleurs, il apparait que les prescriptions coraniques et bibliques d’ordre éthique, qui sont en phase, ne sont pas antinomiques avec les « valeurs culturelles fondamentales qui constituent le ciment de l’unité nationale » (voir Préambule de la Constitution), portées aussi par les adeptes de la religion « négro-africaine »2. Il existe un ensemble d’affirmations qui étayent cette harmonie et nous pouvons noter parmi celles-ci : l’amour de la patrie et de ses prochains (nit dey : bëgg reewam, bëgg moromo jullit am, bëgg kep ku Yalla sak) ; l’amour de la vérité et de la sincérité (nit bu baax dey : wax dëgg, dëggu, ñeme dëg, ñeme wet ci dëg) ; le refus de la honte, l’honneur et la dignité (nit dey : bañ gàcce, am Jom, am lu mu rus, am lu mu jombal boppam, bëgg boppam, bañ lu tilimal wala mu gàkkal deram, nit du sàggi sagam) ; le rejet du mensonge et des vices connexes (nit bu baax du : fen, nar, nax, seytaane, tappale, wuruj, naaféq, rabaj, soss, jëw, jay, yebane, gaaral, miikar, nek kacor) ; le rejet du vol (nit du : sacc, sànk alalu mbotay wala alalu jaambur, randal, jel lumu momut), et le rejet de la méchanceté, de la jalousie et de l’envie (nit du : bon, soxor, añaan, nit dey moytu àq ak lor nit, nit dey set ci ñimu tane te sant Yalla ci lim ko jox).
Au demeurant, le vrai croyant est celui qui a acquis la « sagesse totale »3. Il fonde alors ses rapports avec ses semblables, avec les personnes morales (État, Organismes employeurs et Communautés d’appartenance), avec l’environnement et avec les utilités communes sur la « Parole de Dieu » qui est amour, vérité, justice et équité, en ayant la ferme volonté de contribuer à l’avènement d’une société vertueuse où le bien prendra le dessus sur le mal dans tous les domaines notamment dans la gestion des affaires publiques et dans les rapports sociaux.
En effet, pour les deux religions révélées, l’injonction « Tu aimeras ton prochain comme toi-même » ou « Tu souhaiteras à ton prochain ce que tu souhaites à toi-même » est le deuxième commandement le plus important après l’adoration exclusive du Créateur. L’amour véritable entre les Hommes emporte nécessairement l’amour de ce qui les unit, c’est-à-dire leur patrie. Le citoyen qui aime tous ses concitoyens et qui aime son pays ne peut évidemment pas poser des actes qui causent des dommages aux personnes physiques et morales et freinent le développement personnel des individus et l’évolution du pays.
Cette exigence d’amour, de vérité et de justice qui est le rempart contre toutes les expressions de la crise morale est éloquemment mis en exergue dans les versets bibliques et coraniques ci-après :
– « Maître, quel est le plus grand commandement de la loi ? Jésus lui répondit : Tu aimeras le Seigneur, ton Dieu, de tout ton cœur, de toute ton âme, et de toute ta pensée. C’est le premier et le plus grand commandement. Et voici le second, qui lui est semblable : Tu aimeras ton prochain comme toi-même. De ces deux commandements dépendent toute la loi et les prophètes. » (Évangile selon Matthieu (Mt) 22 : 36-40).
– « Rendez à tous ce qui leur est dû : l’impôt à qui vous devez l’impôt, le tribut à qui vous devez le tribut, la crainte à qui vous devez la crainte, l’honneur à qui vous devez l’honneur. Ne devez rien à personne, si ce n’est de vous aimer les uns les autres ; car celui qui aime les autres a accompli la loi. En effet, les commandements : Tu ne commettras point d’adultère, tu ne tueras point, tu ne déroberas point, tu ne convoiteras point et ceux qu’il peut encore y avoir, se résument dans cette parole : Tu aimeras ton prochain comme toi-même. L’amour ne fait point de mal au prochain : l’amour est donc l’accomplissement de la loi. (…). Marchons honnêtement, comme en plein jour, loin des excès et de l’ivrognerie, de la luxure et de l’impudicité, des querelles et des jalousies. »(Épitre de Paul aux Romains (Ro) 13 : 7-10, 13).
– « “Ô David, Nous avons fait de toi un calife sur la terre. Juge donc en toute équité parmi les gens et ne suis pas la passion : sinon elle t’égarera du sentir d’Allah”. Car ceux qui s’égarent du sentier d’Allah auront un dur châtiment pour avoir oublié le Jour des Comptes ». (S 38 V 26)
– « Ô les croyants ! Observez strictement la justice et soyez des témoins (véridiques) comme Allah l’ordonne, fût-ce contre vous-mêmes, contre vos père et mère ou proches parents. Qu’il s’agisse d’un riche ou d’un besogneux, Allah a priorité sur eux deux (et Il est plus connaisseur de leur intérêt que vous). Ne suivez donc pas les passions, afin de ne pas dévier de la justice. Si vous portez un faux témoignage ou si vous le refusez, sachez qu’Allah est Parfaitement Connaisseur de ce que vous faites ». (S 4 V 135)
De ce qui précède, il apparait clairement que dans un pays où le peuple a consacré sa religiosité, la cause centrale de la crise morale, à laquelle toutes les autres causes, dont notamment un leadership déficient, un déficit de patriotisme et une « éducation sociale, morale et civique » inadaptée, peuvent être ramenées est l’abandon de Dieu. Cet abandon de Dieu est entendu comme le fait pour un croyant de poser délibérément un acte interdit par le Créateur au travers de prescriptions coraniques et bibliques non équivoques.
Les croyants qui ont abandonné Dieu sont ceux qui ont trahi leur charge de vicaire (calife ou représentant de Dieu sur terre) ; ce sont ceux qui ne se battent pas contre eux-mêmes (« xeex ak sen bakan ») pour résister aux tentations et aux tromperies du « malin » (Satan), finissant par déserter le « Parti de Dieu » pour devenir des membres du « parti du Diable banni » qui est le réceptacle de ceux qui ont choisi la « vie présente » pour la satisfaction de toutes leurs passions sans aucun souci des préjudices causés aux personnes physiques et morales (Voir notre article intitulé « De quel parti sommes-nous membres ? »). En fait Dieu a été détrôné du cœur de nombreux croyants dont des leaders étatiques, religieux, coutumiers et familiaux par les passions des richesses matérielles, des plaisirs et du pouvoir qui, partout où les entorses à la sacralité des ressources appartenant au peuple sont tolérées, facilite les acquisitions illicites, et les jouissances débridées, synonymes de débauche, de gaspillage et de surconsommation au moment où de nombreuses familles ont du mal à s’offrir un bon repas par jour.
II. LE RETOUR VERS DIEU : UNIQUE SOLUTION DE SORTIE DE LA CRISE MORALE
L’abandon de Dieu étant la cause centrale de la crise morale, le retour vers Dieu est naturellement la seule solution de sortie de ce fléau. Cette affirmation est soutenue par les appels incessants des guides religieux et de nombreux éducateurs au travers des injonctions « nañu deelu ci yalla ! nañu ragal yalla ! » (Retournons vers Dieu ! Ayons la crainte de Dieu !) quand ils veulent inciter les croyants à abandonner leur mauvaise conduite.
Retourner vers Dieu, c’est s’extraire de l’emprise des idoles (avoirs, plaisirs, places et pouvoir) pour adorer exclusivement le Créateur et s’évertuer à respecter de manière non sélective la totalité de Ses prescriptions d’ordre éthique portées par le Coran et la Bible et qui doivent être prises en compte comme adjuvant de l’« éducation sociale, morale et civique » des jeunes sénégalais prévue par la loi n° 91-22 du 16 mars 1991 portant orientation de l’Éducation nationale, modifiée par la loi n°2004-37 du 15 décembre 2004, et être la source des « éléments de langage des indispensables opérations de conscientisation » de tous ceux qui sont en dehors du système de l’Éducation nationale pour « la transformation de leur cœur et de leur esprit ».
Les bonnes actions posées jusqu’ici par les saints fondateurs de l’église, des confréries et des familles religieuses, par leurs héritiers et par les Organisations de défense des valeurs n’ont pas pu éradiquer la crise morale, principalement parce qu’elles étaient conduites sans une implication totale de l’État responsable de la santé morale du peuple sénégalais. Par ailleurs, l’État a failli en ne donnant pas aux jeunes sénégalais « la meilleure éducation sociale, morale et civique possible » et en n’obtenant pas d’être servi uniquement par des hauts commis vertueux et exemplaires, offrant « une bonne éducation pratique » à ceux qui sont sous leur autorité et aux autres citoyens au travers de leur bonne conduite (leur manière d’être et de faire), en public et en privé.
C’est pourquoi nous avons indiqué dans le livre 1 susmentionné, que nous sommes convaincu du fait que seule une « Dynamique nationale », qui bénéficierait des moyens financiers de l’État, impliquerai tous les acteurs dans une union des cœurs et des esprits et prévoirait des moyens de coordination, de suivi, d’évaluation et de réajustement vers des objectifs de transformation éthique clairement et inclusivement définis, pourrait permettre de sortir le pays de cette crise morale retardatrice, handicapante et crisogène. Conséquemment, nous avons, comme « esquisses de solutions », proposé le développement et l’implémentation d’une « stratégie nationale de sortie de la crise morale » synonyme de « stratégie nationale de retour vers Dieu » dont l’épine dorsale serait constituée par une « éducation sociale, morale et civique » et des opérations de conscientisation, toutes adaptées par la prise en compte des prescriptions coraniques et bibliques d’ordre éthique qui seraient renforcées par des maximes, des proverbes et des contes véhiculant les valeurs traditionnelles positives.
Que Dieu, qui aime vraiment le Sénégal, ouvre l’esprit de tous nos dirigeants (gouvernants et autres hauts commis de l’Etat) afin qu’ils acquièrent la « sagesse totale » et mettent patriotiquement les intérêts du « peuple du Sénégal souverain » au-dessus de tout, y compris leurs intérêts personnels et ceux de leurs partis politiques, et aient le courage de lutter contre tous les obstacles au développement socioéconomique du pays. Dans ce sens, il importe de réduire drastiquement le train de vie de l’Etat, notamment par la suppression de tous les Organismes étatiques non INDISPENSABLES (voir notre article intitulé « Attention â la perpétuation de « l’agencialisation » ! » publié depuis le 31 août 2024) ainsi que tous les avantages et privilèges financiers qui ont été accordés SUBJECTIVEMENT, afin de réduire au maximum les injustices dans la rémunération et les pensions des agents de l’Etat et orienter les économies qui seront réalisées vers des investissements inducteurs de développement socioéconomique. L’actualisation du rapport4relatif à une « Étude sur le système de rémunération au sein de l’administration Sénégalaise » établi par le Cabinet Mgp-Afrique disponible depuis le 30 novembre 2015 et une rapide mise en adéquation de « l’architecture du Pouvoir exécutif » apparaissent dès lors comme une urgence.
NOTES :
1 : « crise morale tridimensionnelle » : Crise morale comportant trois volets : la mal gouvernance qui s’est consolidée depuis la crise politique du 17 décembre 1962 ; une corruption des rapports sociaux par des vices tels que la déification de l’argent, des plaisirs et du pouvoir, le mensonge et ses vices connexes (la délation, la calomnie, la médisance, la flagornerie, …), l’hypocrisie, l’injustice et l’iniquité ainsi que la méchanceté, la jalousie et l’envie qui sont opérationnalisées par des actes maléfiques comme le maraboutage, et une crise morale au sein de la communauté musulmane évoquée il y a longtemps par les vénérés El Hadji Malick Sy et Cheikh Ahmadou Bamba Mbacké. Le premier dans son livre « Kifaayatu ar-Raa’hibiin » publié en 1920 pour lutter contre la crise morale et le second au travers de son « Traité de soufisme Massàlik al Jinàn Les Itinéraires du Paradis » qu’il a présenté comme un ouvrage capable de guérir les « spirituellement malades » et dans lequel, il a mentionné les « faux chefs religieux (assoiffés de fortune et de prestige) … » qui « (…) évoquent très souvent Allah par leur langue alors que leur cœur reste parmi les plus corrompus de ce monde ».
2 : Dans la revue semestrielle de culture négro-africaine ÉTHIOPIQUES publiant les Actes du Colloque des Journées culturelles du Sine (Fatick, 10-12 mai 1991), feu l’Islamologue Issa laye Thiaw (Paix à son âme) soutient dans un article intitulé « La religiosité des Seereer, avant et pendant leur islamisation » : « Bien que n’étant pas musulmans, les anciens seereer avaient des conceptions religieuses presque identiques à celles que nous retrouvons dans l’enseignement de l’Islam » et « nous voyons ici clairement que le seereer animiste n’explique rien en dehors de Roog Seen ; ce qui permet d’affirmer qu’il n’y avait pas de place pour les mécréants ou les athées dans la société traditionnelle seereer ».
3 : « sagesse totale ». Elle est définie comme : « L’acquisition de la « science du bien et du mal », ainsi que des sentiments d’amour, de solidarité, de fraternité, de justice, d’équité, de miséricorde, de bienveillance, de compassion, de bienfaisance, d’humanité, d’abnégation, d’aversion pour le mal et de honte de faillir à ses devoirs dans tous ses rapports avec les autres personnes physiques ou morales ». Cette « sagesse totale » est donc le produit de la « science du bien et du mal » et de cette ferme volonté de vivre en orientant toutes ses actions, ses paroles et ses intentions vers le bien et en rejetant le mal sous toutes ses formes. Elle ne s’acquière que par l’éducation au sens large du terme.
4 : Rapport final du 30 novembre 2015 du Cabinet Mgp-Afrique relatif à une « Étude sur le système de rémunération au sein de l’administration Sénégalaise ». Référence : Marché contrat N° C-0158/du 05/02/2015 (ministère de la Fonction Publique, de la Rationalisation des Effectifs et du Renouveau du Service public/Direction de l’Administration Générale et de l’Équipement).
Le 24 janvier 2025
Colonel de Gendarmerie (er) Tabasky Diouf
Grand officier de l’Ordre national du Lion et Commandeur dans l’Ordre du mérite
Membre fondateur de l’Initiative Citoyenne « Jog Ngir Senegaal »
Ceci je dirai est un résumé pour être un citoyen croyant exemplaire !
Que Dieu vous assiste dans cette démarche citoyenne .Jub-Jubal-Jubanti .
Merci du Partage mon Colonel !
Macha Allah, un grand écrivain, observateur de la société de manière globale notamment celle de notre sympathique Sénégal rempli de vaillants ancêtres typiques ,référentiels tels que Mame Cheikh Ahmadou Bamba MBACKE résistant pacifique qui a pu montrer toutes ces caractéristiques de valeurs morales .