Appel patriotique  aux éducateurs religieux chrétiens

27 mai 2024 | 0 commentaires

On ne se moque pas de Dieu impunément. L’Eternel ne laissera point impuni celui qui prendra son nom en vain. L’Esprit saint éducateur, fuit l’hypocrisie, se détourne des projets sans intelligence car la Sagesse ne peut entrer dans une âme qui veut le mal, ni habiter dans un corps asservi au péché. Les pensées tortueuses éloignent de Dieu et sa puissance confond les insensés qui la provoquent. Nul ne peut servir deux maitres ; nul ne peut servir Dieu et le Diable (Mamon) et chacun rendra compte à Dieu pour lui-même et moissonnera ce qu’il aura semé.  Celui qui sème pour sa chair moissonnera de la chair la seconde mort ; mais celui qui sème pour l’Esprit moissonnera de l’Esprit la vie éternelle. (Exode (Ex) 20 : 7 ; Sagesse 1 : 3-5 ; Evangile selon Luc 16 : 13 ; Epitre de Paul aux Romains 14 : 12 ; Epître de Paul aux Galates 6 : 7, 8)

Dans un pays en proie avec une crise morale, qui est en fait la source de ce « grand banditisme d’État »1 qui défraie la chronique en ce moment, car de nombreux croyants ont abandonné Dieu au profit des idoles de notre temps que sont l’argent ou les avoirs matériels, les plaisirs et le pouvoir qui, sous nos cieux, facilite les acquisitions illicites et les jouissances débridées, il nous a semblé utile, parallèlement à cet « Appel patriotique » que nous avons lancé « aux éducateurs religieux musulmans », d’en faire de même pour les éducateurs religieux chrétiens au travers du partage, avec les sénégalais, de notre lecture et compréhension de certains versets bibliques relatifs notamment au repentir et au rôle de ceux à qui Dieu a pourvu d’une autorité (religieuse).

Cet article s’articule donc autour des cinq (5) parties suivantes : Dieu ne se lasse pas de pardonner (I.) ; Il n’est jamais trop tard pour se repentir (II.) ; le repentir ne doit pas être sciemment retardé (III.) ; Devoir de ceux à qui Dieu a pourvu d’une autorité (IV.) ; Conscience de ce que la vie éternelle dépend des bonnes œuvres (V.).

VII.1. DIEU NE SE LASSE PAS DE PARDONNER.

Dieu ne se lasse pas de pardonner et ressent dans la vraie repentance des pécheurs, une immense joie comparable à celle d’un homme qui retrouve une de ses 100 brebis qu’il avait perdue. Et c’est pourquoi, Il use de patience envers ceux qu’Il a « créés à son image », voulant que tous retournent entièrement à Lui avec un cœur purifié, sage et intelligent.

Dans ce sens, il est dit :

– «Le Seigneur ne tarde pas dans l’accomplissement de la promesse, comme quelques-uns le croient ; mais il use de patience envers vous, ne voulant pas qu’aucun périsse, mais voulant que tous arrivent à la repentance. » (Seconde épitre de Pierre 3 : 9)

– « Maintenant encore, dit l’Eternel, Revenez à moi de tout votre cœur, avec des jeûnes, avec des pleurs et des lamentations ! Déchirez vos cœurs et non vos vêtements, Et revenez à l’Eternel, votre Dieu ; Car il est compatissant et miséricordieux, Lent à la colère et riche en bonté, Et il se repent des maux qu’il envoie ». (Joël 2 :12, 13)

– « Je dis donc : Marchez selon l’Esprit, et vous n’accomplirez pas les désirs de la chair. (…). Si vous êtes conduits par l’Esprit, vous n’êtes point sous la loi. Or, les œuvres de la chair sont manifestes, ce sont l’impudicité, l’impureté, la dissolution, l’idolâtrie, la magie, les inimitiés, les querelles, les jalousies, les animosités, les disputes, les divisions, les sectes, l’envie, l’ivrognerie, les excès de table, et les choses semblables. Je vous dis d’avance, comme je l’ai déjà dit, que ceux qui commettent de telles choses n’hériteront point le royaume de Dieu ». (Epitre de Paul aux Galates (Ga) 5 : 16, 18-21)

– « Jésus, prenant la parole, leur dit : Ce ne sont pas ceux qui se portent bien qui ont besoin de médecin, mais les malades. Je ne suis pas venu appeler à la repentance des justes, mais des pécheurs ». (Evangile selon Luc 5 :32, 32)

– « Tous les publicains et les gens de mauvaise vie s’approchaient de Jésus pour l’entendre. Et les pharisiens et les scribes murmuraient, disant : Cet homme accueille des gens de mauvaise vie, et mange avec eux. Mais il leur dit cette parabole : Quel homme d’entre vous, s’il a cent brebis, et qu’il en perde une, ne laisse les quatre-vingt-dix-neuf autres dans le désert pour aller après celle qui est perdue, jusqu’à ce qu’il la retrouve ? Lorsqu’il l’a retrouvée, il la met avec joie sur ses épaules, et, de retour à la maison, il appelle ses amis et ses voisins, et leur dit : Réjouissez-vous avec moi, car j’ai retrouvé ma brebis qui était perdue. De même, je vous le dis, il y aura plus de joie dans le ciel pour un seul pécheur qui se repent, que pour quatre-vingt-dix-neuf justes qui n’ont pas besoin de repentance. » (L’évangile selon Luc 15 : 1-7)

–  « Et moi, je vous dis : Demandez, et l’on vous donnera ; cherchez, et vous trouverez ; frappez, et l’on vous ouvrira. Car quiconque demande reçoit, celui qui cherche trouve, et l’on ouvre à celui qui frappe. Quel est parmi vous le père qui donnera une pierre à son fils, s’il lui demande du pain ? Ou, s’il demande un poisson, lui donnera-t-il un serpent au lieu d’un poisson ? Ou, s’il demande un œuf, lui donnera-t-il un scorpion ? Si donc, méchants comme vous l’êtes, vous savez donner de bonnes choses à vos enfants, à combien plus forte raison le Père céleste donnera-t-il le Saint-Esprit à ceux qui le lui demandent. » (Luc 11 : 9-13)

VII.2. IL N’EST JAMAIS TROP TARD POUR SE REPENTIR

Pour les Hommes, conscients de l’amour que Dieu a pour ceux qu’« Il a créés à son image », il n’est jamais trop tard, de se repentir pour devenir vertueux, pour devenir juste, pour vivre conformément aux préceptes et aux enseignements bibliques, comme ceux-là, qui reconnurent, qu’ils étaient du nombre de ceux qui « étaient morts par leurs offenses et leurs péchés » ; qui « vivaient autrefois selon les convoitises de leur chair, accomplissant les volontés de la chair et de leurs pensées » bassement terrestres ; qui étaient « insensés, désobéissants, égarés, asservis à toute espèce de convoitises et de voluptés, vivant dans la méchanceté et dans l’envie, dignes d’être haïs » et qui « étaient par nature des enfants de colère », mais que « Dieu qui est riche en miséricorde, à cause du grand amour » qu’il a pour « Ses fils » a « rendus à la vie avec Christ » et qui dorénavant participent à la matérialisation de ce « grand amour divin » au travers de la miséricorde humaine et la commission des bonnes œuvres, au profit de leurs semblables.

Dans ce sens il est dit :

– « Vous étiez morts par vos offenses et par vos péchés, dans lesquels vous marchiez autrefois, selon le train de ce monde, selon le prince de la puissance de l’air, de l’esprit qui agit maintenant dans les fils de la rébellion. Nous tous aussi, nous étions de leur nombre, et nous vivions autrefois selon les convoitises de notre chair, accomplissant les volontés de la chair et de nos pensées, et nous étions par nature des enfants de colère, comme les autres… Mais Dieu, qui est riche en miséricorde, à cause du grand amour dont il nous a aimés, 5nous qui étions morts par nos offenses, nous a rendus à la vie avec Christ (…). » (Epitre de Paul aux Ephésiens 2 : 1-5)

– « Rappelle-leur d’être soumis aux magistrats et aux autorités, d’obéir, d’être prêts à toute bonne œuvre, de ne médire de personne, d’être pacifiques, modérés, pleins de douceur envers tous les hommes. Car nous aussi, nous étions autrefois insensés, désobéissants, égarés, asservis à toute espèce de convoitises et de voluptés, vivant dans la méchanceté et dans l’envie, dignes d’être haïs, et nous haïssant les uns les autres. Mais, lorsque la bonté de Dieu notre Sauveur et son amour pour les hommes ont été manifestés, il nous a sauvés, non à cause des œuvres de justice que nous aurions faites, mais selon sa miséricorde, par le baptême de la régénération et le renouvellement du Saint-Esprit, qu’il a répandu sur nous avec abondance par Jésus-Christ notre Sauveur, afin que, justifiés par sa grâce, nous devenions, en espérance, héritiers de la vie éternelle. Cette parole est certaine, et je veux que tu affirmes ces choses, afin que ceux qui ont cru en Dieu s’appliquent à pratiquer de bonnes œuvres. Voilà ce qui est bon et utile aux hommes. » (Epitre de Paul à Tite 3 : 1-8)

– « Prenez garde à vous-mêmes. Si ton frère a péché, reprends-le ; et, s’il se repent, pardonne-lui. Et s’il a péché contre toi sept fois dans un jour et que sept fois il revienne à toi, disant : Je me repens, tu lui pardonneras. » (Evangile selon Luc 17 : 3, 4)

– « Bien-aimés, aimons-nous les uns les autres ; car l’amour est de Dieu, et quiconque aime est né de Dieu et connaît Dieu. Celui qui n’aime pas n’a pas connu Dieu, car Dieu est amour ». (Première épitre de Jean 4 : 7, 8)

VII.3.     LE REPENTIR QUI NE DOIT PAS ÊTRE SCIEMMENT RETARDÉ

Cependant, dès que l’Homme prend conscience du mal qu’il a fait ou est en train de faire, dès qu’il s’aperçoit qu’il vit dans l’égarement ou dès qu’il acquiert la science (connaissance de la loi) lui permettant de se rendre compte qu’il était en train de pécher par ignorance, il n’a pas le droit de retarder sciemment son « repentir sincère » et doit rompre immédiatement et définitivement d’avec son comportement blâmable ou outrancier. Autrement dit le Pardon de Dieu est subordonné au fait que l’Homme pécheur abandonne sa méchanceté, son injustice, son iniquité, son attachement à de vaines idoles, qu’il domine ses instincts (« homme animal »), se laisse conduire par sa conscience droite vers les bonnes œuvres (« homme spirituel »), se détourne définitivement de ses pensées négatives, quitte la mauvaise voie dans laquelle il cheminait et restitue ce qu’il avait ravi.

Dans ce sens, il est dit :

– «Le Maître de l’univers ne reculera devant personne, la grandeur ne lui en impose pas ; car les petits comme les grands, c’est lui qui les a faits : il prend soin de tous pareillement. ». (Sagesse 6 : 7)

– « Produisez donc du fruit digne de la repentance, et ne prétendez pas dire en vous-mêmes : Nous avons Abraham pour père ! Car je vous déclare que de ces pierres-ci Dieu peut susciter des enfants à Abraham. Déjà la cognée est mise à la racine des arbres : tout arbre donc qui ne produit pas de bons fruits sera coupé et jeté au feu ». (Matthieu 3 : 8-10)

–  «Tribulation et angoisse sur toute âme d’homme qui fait le mal, sur le Juif premièrement, puis sur le Grec ! Gloire, honneur et paix pour quiconque fait le bien, pour le Juif premièrement, puis pour le Grec ! Car devant Dieu il n’y a point d’acception de personnes ». Tous ceux qui ont péché sans la loi périront aussi sans la loi, et tous ceux qui ont péché avec la loi seront jugés par la loi. » (Epitre de Paul aux Romains 2 : 9-12)

– « Si mon peuple sur qui est invoqué mon nom s’humilie, prie, et cherche ma face, et s’il se détourne de ses mauvaises voies, -je l’exaucerai des cieux, je lui pardonnerai son péché, et je guérirai son pays » (2 Chroniques 7 : 14)

« Que le méchant abandonne sa voie, Et l’homme d’iniquité ses pensées ; Qu’il retourne à l’Eternel, qui aura pitié de lui, A notre Dieu, qui ne se lasse pas de pardonner. » (Ésaïe 55 :7)

– «Si le juste se détourne de sa justice et commet l’iniquité, et meurt pour cela, il meurt à cause de l’iniquité qu’il a commise. Si le méchant revient de sa méchanceté et pratique la droiture et la justice, il fera vivre son âme. S’il ouvre les yeux et se détourne de toutes les transgressions qu’il a commises, il vivra, il ne mourra pas ». (Ezéchiel (Ez) 18 : 26-28)

–  « Et toi, fils de l’homme, dis aux enfants de ton peuple : La justice du juste ne le sauvera pas au jour de sa transgression ; et le méchant ne tombera pas par sa méchanceté le jour où il s’en détournera, de même que le juste ne pourra pas vivre par sa justice au jour de sa transgression. Lorsque je dis au juste qu’il vivra, – s’il se confie dans sa justice et commet l’iniquité, toute sa justice sera oubliée, et il mourra à cause de l’iniquité qu’il a commise. Lorsque je dis au méchant : Tu mourras ! – s’il revient de son péché et pratique la droiture et la justice, s’il rend le gage, s’il restitue ce qu’il a ravi, s’il suit les préceptes qui donnent la vie, sans commettre l’iniquité, il vivra, il ne mourra pas. Tous les péchés qu’il a commis seront oubliés ; s’il pratique la droiture et la justice, il vivra ».

(Ezéchiel (Ez) 33 : 12-16)

VII.4. DEVOIR DE CEUX À QUI DIEU A POURVU D’UNE AUTORITÉ.

Ceux à qui Dieu a pourvu d’une autorité et qui ont acquis la véritable connaissance de Dieu; ceux qui ont « la charge d’évêque », qui sont chargés de « prendre soin de l’Eglise de Dieu » ; les « diacres » et les « hommes de Dieu », ont le devoir d’être les gardiens de Sa parole et de contribuer à l’expression de l’amour que l’Eternel a pour les Hommes, notamment, en ne restant pas passif devant les comportements blâmables et en aidant les « égarés », ceux à « l’intelligence obscurcie » et au « cœur endurci » par les péchés à se repentir. Autrement dit, ils ont le devoir de porter leurs efforts vers les « brebis égarées », les gens de mauvaise vie, comme le fit leur modèle parfait Jésus-Christ (PSL) afin de les amener à la connaissance de Dieu, à la connaissance de la vérité qui les dégagera des pièges du diable qui s’était emparé d’eux et les avait soumis à sa volonté.

Dans ce sens il est dit :

– «En effet, vous êtes les ministres de sa royauté ; si donc vous n’avez pas rendu la justice avec droiture, ni observé la Loi, ni vécu selon les intentions de Dieu, il fondra sur vous, terrifiant et rapide, car un jugement implacable s’exerce sur les grands ; au petit, par pitié, on pardonne, mais les puissants seront jugés avec puissance. (…). Les puissants seront soumis à une enquête rigoureuse. C’est donc pour vous, souverains, que je parle, afin que vous appreniez la sagesse et que vous évitiez la chute ». (Sagesse 6 : 4-6, 8,9)

– «Et toi, fils de l’homme, je t’ai établi comme sentinelle (…). Tu dois écouter la parole qui sort de ma bouche, et les avertir de ma part. Quand je dis au méchant : Méchant, tu mourras ! si tu ne parles pas pour détourner le méchant de sa voie, ce méchant mourra dans son iniquité, et je te redemanderai son sang. Mais si tu avertis le méchant pour le détourner de sa voie, et qu’il ne s’en détourne pas, il mourra dans son iniquité, et toi tu sauveras ton âme. » (Ezéchiel (Ez) 33 : 7-9)

– « Ecris à l’ange de l’Eglise de Thyatire : Voici ce que dit le Fils de Dieu, celui qui a les yeux comme une flamme de feu, et dont les pieds sont semblables à de l’airain ardent : Je connais tes œuvres, ton amour, ta foi, ton fidèle service, Mais ce que j’ai contre toi, c’est que tu laisses la femme Jézabel, qui se dit prophétesse, enseigner et séduire mes serviteurs, pour qu’ils se livrent à l’impudicité et qu’ils mangent des viandes sacrifiées aux idoles. Je lui ai donné du temps, afin qu’elle se repentît, et elle ne veut pas se repentir de son impudicité. Voici, je vais la jeter sur un lit, et envoyer une grande tribulation à ceux qui commettent adultère avec elle, à moins qu’ils ne se repentent de leurs œuvres. Je ferai mourir de mort ses enfants ; et toutes les Églises connaîtront que je suis celui qui sonde les reins et les cœurs, et je vous rendrai à chacun selon vos œuvres. » (Apocalypse 2 : 18-23)

VII.5. CONSCIENCE DE CE QUE LA VIE ÉTERNELLE DÉPEND DES BONNES ŒUVRES

L’Homme doit être convaincu du fait que la vie éternelle au Paradis ou sous la tente de l’Eternel sera acquise comme rétribution des bonnes œuvres accomplies y compris par les païens. Devant « le Maître de l’univers », « il n’y a point d’acception de personnes » qui serait fondée notamment sur l’appartenance familiale. Lui qui « sonde les reins et les cœurs » a « fixé un jour où Il jugera le monde selon la justice » et « rendra à chacun selon ses œuvres », secrètes ou connues des autres.

Dans ce sens, il est notamment dit :

–  « ¹Psaume de David. O Eternel ! Qui séjournera dans ta tente ? Qui demeurera sur ta montagne sainte ?  ²Celui qui marche dans l’intégrité, qui pratique la justice Et qui dit la vérité selon son cœur. ³Il ne calomnie point avec sa langue, Il ne fait point de mal à son semblable, Et il ne jette point l’opprobre sur son prochain. 4Il regarde avec dédain celui qui est méprisable, Mais il honore ceux qui craignent l’Eternel ; Il ne se rétracte point, s’il fait un serment à son préjudice. 5Il n’exige point d’intérêt de son argent, Et il n’accepte point de don contre l’innocent. Celui qui se conduit ainsi ne chancelle jamais. » (Psaumes 15 : 1-5)

– « Mais, par ton endurcissement et par ton cœur impénitent, tu t’amasses un trésor de colère pour le jour de la colère et de la manifestation du juste jugement de Dieu qui rendra à chacun selon ses œuvres ; réservant la vie éternelle à ceux qui, par la persévérance à bien faire, cherchent l’honneur, la gloire et l’immortalité ; mais l’irritation et la colère à ceux qui, par esprit de dispute, sont rebelles à la vérité et obéissent à l’injustice. (…). Tous ceux qui ont péché sans la loi périront aussi sans la loi, et tous ceux qui ont péché avec la loi seront jugés par la loi. Ce ne sont pas, en effet, ceux qui écoutent la loi qui sont justes devant Dieu, mais ce sont ceux qui la mettent en pratique qui seront justifiés. Quand les païens, qui n’ont point la loi, font naturellement ce que prescrit la loi, ils sont, eux qui n’ont point la loi, une loi pour eux-mêmes ; ils montrent que l’œuvre de la loi est écrite dans leurs cœurs, leur conscience en rendant témoignage, et leurs pensées s’accusant ou se défendant tour à tour. » (Epitre de Paul aux Romains 2 : 5-7, 12-15)

Note

1 : Grand banditisme d’Etat : Il s’agit des excessives malversations sciemment commises sous le régime de l’ex-Président Macky Sall et qui soulève en ce moment de nombreuses indignations et appels à réparation

M. Tabasky Diouf, Colonel de Gendarmerie (retraité)

Grand officier dans l’ordre national du lion et Commandeur dans l’ordre du mérite

Membre fondateur de l’Initiative « Jog Ngir Senegaal »

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